Le Petit Palais des Sports : visite du camp de base du groupe BPCE pendant les JOP
Par Adélaïde de la Bourdonnaye | Le | Marques & entreprises
Skate-park géant pour Saint-Gobain à La Défense, Playground à la Villette pour Decathlon, espace immersif pour EDF au Pavillon Gabriel, structures éphémères sur les Champs Elysées pour Samsung et Ali Express et bien d’autres… les sponsors des Jeux Olympiques donnent pour la plupart corps à leur partenariat en créant des camps de base événementiels dans tout Paris. Découverte de celui du groupe BPCE, qui s’est approprié jusqu’à la fin des Jeux Paralympiques un espace d’exception : Le Petit Palais (des Sports, pour l’occasion).
Un espace d’échanges et de célébration pour 30 000 invités
Du début des Jeux Olympiques à la fin des Jeux Paralympiques, hors période de break entre les deux, l’espace privatisé au sein du Petit Palais par le groupe BPCE devrait recevoir jusqu’à 30 000 invités « Nous allons accueillir tous nos invités, clients, collaborateurs, et athlètes pendant toute cette période. » a indiqué Nicolas Namias, Président du Directoire du groupe lors d’une soirée de présentation à la presse mercredi dernier.
Au programme : retransmissions d’épreuves en direct et célébrations post-compétitions pour les quelques 25 % des athlètes de l’équipe de France soutenus par BPCE. « Nous accompagnons plus de 250 athlètes, dont 133 sont qualifiés pour les Jeux Olympiques et Paralympiques. » s’est félicité Nicolas Namias.
Une grande arche longue et colorée accueille les visiteurs dans la Galerie Sud, et les invite à rejoindre un plateau TV aménagé pour accueillir célébrations et émissions quotidiennes. Dans les espaces habituellement réservés aux expositions temporaires du musée, des expériences interactives en lien avec le sport et la culture sont ensuite proposées. Mur de médailles, exposition de portraits d’athlètes, photocall de la flamme, « IT Bar » et autres paniers de basket. Un dispositif signé par l’agence Eventeam.
Si le Petit Palais des Sports n’est pas un lieu grand public, le reste du musée, qu’il s’agisse des collections permanente ou de l’exposition « Le Corps en Mouvement », soutenue par BPCE, restent bel et bien accessibles à tous. « Nous voulons que le musée reste vivant avec ses visiteurs, ses collections permanentes » a souligné Nicolas Namias.
Le Petit Palais, un choix d’engagement culturel
« L’alliance entre BPCE et le Petit Palais symbolise bien plus qu’un simple partenariat événementiel ; elle incarne un engagement culturel profond et durable. » Lors de son discours au Petit Palais, Nicolas Namias, Président du Directoire du groupe BPCE, a mis en lumière les raisons de ce choix emblématique. « S’associer au Petit Palais, ça a un sens, ce n’est pas simplement accueillir nos invités. Même si nous voulons leur offrir une expérience exceptionnelle. » Un nouveau mécénat qui s’articule autour de trois axes principaux : la rénovation du péristyle, l’amélioration de la performance énergétique, et la mise en valeur des collections permanentes.
Le péristyle du Petit Palais, orné d’une fresque monumentale de 1000 m² réalisée par Paul Bauduin en 1906, n’a jamais été restauré depuis sa création. BPCE s’engage à financer cette restauration, permettant ainsi de redonner tout son éclat à cette œuvre magistrale. En parallèle, BPCE s’engage à participer à l’amélioration de la performance énergétique du musée. Enfin, le partenariat prévoit un soutien à la valorisation des collections permanentes du musée.
BPCE et les JOP : à jamais les premiers
Comme nous l’expliquait Laurent Buffard, directeur de la communication de Banque Populaire et de Caisse d’Epargne (« marraines » du Relais de la Flamme), le groupe BPCE et ses marques a été le premier à se déclarer partenaires des Jeux Olympiques de Paris 2024, dès 2017. « Nous avons été le premier partenaire premium à s’engager auprès des Jeux olympiques et paralympiques, reflétant notre volonté de soutenir les grands projets français » a rappelé de son côté Nicolas Namias. Le groupe a en effet participé au financement d’infrastructures clés, comme le village olympique et paralympique. « Ce partenariat est l’occasion d’inscrire durablement BPCE comme la Banque du sport en France ». En participant à la structuration de la filière de l’économie du sport, BPCE entend jouer un rôle clé dans le développement des infrastructures et des entreprises sportives, et contribuer ainsi à l’essor de ce secteur en France. « Un écosystème qui représente 2,6 % du PIB français. » a précisé Nicolas Namias.